Les derniers rapports de chiffre publié par la Banque de France sur le bilan des crédits accordés aux entreprises montrent une certaine stabilité des opérations en ce milieu d’année 2013.
Pour une année, la Banque de France a constatée une progression de (+1,3) de l’encours de crédits aux entreprises mobilisés, en chiffre cela donne 813,6 milliards d’euros en cette fin du mois de juin. En effet, une grande par revient aux PME et aux entrepreneurs indépendants qui représentent au moins 44% de ce montant. Par ailleurs, la Banque a également relevée une augmentation de 0,6% des crédits mobilisés et mobilisables entre le mois de juin 2012 et celui de cette année 2013, soit une année entière. Cependant, pour les sociétés de taille moyenne et intermédiaire, cette hausse n’est pas aussi réjouissante que cela. Elles ont toujours l’impression que l’accès au crédit n’est pas si présent que cela : pour cause au deuxième trimestre de l’année, il y a eu 72% des demandes de crédit en trésorerie des PME qui ont été accordés. Pour ce qui est le cas des crédits investissements, il y a eu du mieux avec près de 88% de demandes acceptées.
Tandis que les sociétés en pleine phase de décollage, elles ont moins de popularité auprès des banquiers. Les banques ont du mal à leur faire confiance. Les chiffres ont pu constater que les encours des prêts aux PME de moins de 3 ans ont largement baissés sur une période de six mois. Par contre, pour celles qui ont plus de trois ans, l’encours des crédits a augmenté. Au vu de ces résultats peut-on affirmé que les banques sont très sévères et sélectives par la même occasion ?
Cela pourrait être le cas, mais elles ne sont pas responsables par simple convenance. En effet, plusieurs facteurs sont causes. L’application des nouvelles règles bancaires est en partie la cause. Les banques se doivent de respecter et surveiller leurs fonds propres. Pour cela, elles doivent donc se montrer très restrictives par rapport à l’octroi des prêts aux entreprises. En outre, il y a aussi les critères d’octroi qui doivent être très sélectifs, car pour que ces institutions financières puissent accorder des crédits aux entreprises, elles ont recours au refinancement de la BCE et des opérations de titrisation.