50 % des organismes de rachat de crédit en ligne ne respecteraient pas la réglementation en vigueur.
Rachat de crédit : simulation gratuite par Bankeo.info
Le rachat de credit
De plus en plus de français s’intéressent au rachat de crédit parce que les énormes difficultés qu’ils rencontrent, les rendent défaillants dans les règlements de leurs dettes. En dehors de cela, il ne faut pas oublier que pour certains, cela permet de restructurer leurs dettes, augmenter leur pouvoir d’achat et donc d’éviter la souscription d’un nouveau crédit par exemple.
Saisissant la balle au bond, de nombreuses structures se sont engouffrées dans la brèche pour proposer ce type de services financiers, notamment sur internet.
Mais des précautions doivent être prises pour contracter avec les organismes de rachat de crédit lorsque vous faites par exemple une simulation, car selon la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF), 50 % d’entre eux ne sont pas dignes de confiance.
La moitié des organismes de rachat de crédit en ligne ne respectent pas la réglementation
En février dernier, la DGCCRF a publié les résultats d’une enquête réalisée auprès des plateformes de rachat de crédit en ligne, par le canal du Centre de surveillance du commerce électronique (CSCE). Sur les 249 structures qui ont sujette à cette enquête, des nombreuses pratiques frauduleuses ont été décelée sur près la moitié d’entre elles (plus précisément 48,8 %). Celles qui ont été épinglées sont essentiellement les structures qui proposent les offres les plus alléchantes sur Internet.
En quoi sont-elles irrespectueuses de la loi ?
Ce qui leur est principalement reproché, c’est le manquement à l’obligation d’information des consommateurs. Cette disposition est clairement prescrite par la loi sur le TAEG. Ce qui est rassurant, ces irrégularités sont involontaires dans la plupart des cas puisqu’elles sont la conséquence d’une méconnaissance des textes de loi en vigueur par ces organismes. Toutefois des manœuvres délibérément malhonnêtes ont également été recensés.