Stéphane Pallez est nominée, par l’Etat, pour être administrateur du groupe. C’était la dernière étape à franchir, avant l’ultime nomination, prévue pour fin octobre, où elle sera surement « élue » pour être dirigeante de la Française des Jeux.
Une nomination souhaitée par l’Etat
La nomination au poste de dirigeante de FDJ n’est plus très loin pour la candidate Stéphane Pallez. Elle est en effet attendue à la fin du mois d’octobre. Cette avant dernière étap, était la dernière difficile à passer, et Stéphane est très sollicitée pour obtenir ce poste avant la fin de l’année.
C’est l’Etat qui a proposé sa nomination, puisque, rappelons le, l’Etat est actionnaire de la FDJ à hauteur de 72%. Cette nomination, de part un si gros actionnaire, prouve que cette femme est très attendue à ce poste, et que les pouvoirs public, approuve totalement ce désir.
Cette prise de poste sera aussi fait de manière très rapide, puisque l’actuel dirigeant de la FDJ, Christophe Blanchard-Dignac, se retirera le 21 octobre, et c’est un poste trop important, pour qu’il reste vide sur une longue période.
Pour accéder à ce poste, Stéphane devra d’abord passe devant la « commission des finances de l’Assemblée nationale », puis au Sénat. Cette décision sera prise avant la fin du mois par « l’Assemblée Générale de la FDJ. »
Une confiance pour le parti de gauche
Cette place de dirigeant de la FDJ était très prisée, par de nombreux candidats, et même par le candidat sortant. Mais l’Etat à choisi Stéphane, et ce, pour des raisons bien particulières.
En effet, cette femme est tout d’abord passée par un pose de dirigeante du Trésor, ce qui est une condition obligatoire pour pouvoir prétendre à la direction de la FDJ. Ensuite, elle est de gauche, et ses convictions sont incontestables, puisqu’elle à eu quelques expériences au ministère, au côté de Michel Sapin par exemple.
Elle a aussi été directrice des finances dans un grand groupe, dont l’Etat était une nouvelle fois actionnaire, France Télécom, et elle à réussit à subir la privatisation de ce groupe, ce qui est avantageux pour elle, car pour la FDJ, l’Etat pense à revendre 20% supplémentaire de ses parts. Elle saura donc faire face à cette situation.
Enfin dernier point, c’est une femme, et d’autant plus, une femme forte, ce que l’Etat veut franchement mettre en avant, pour donner l’exemple, et prouver que les femmes peuvent très bien être de grandes chefs d’entreprises.